Dans le cadre du projet de recherche nommé « NanoHouse », un groupe de chercheurs de l’Empa - établissement de recherche du Domaine des Ecoles Polytechniques Fédérales (EPF)- a pu démontrer que « : les nanoparticules que renferment les peintures pour façades ne présentent pas de risques particuliers pour la santé ».
En effet, ce projet qui a duré 42 mois, avait pour objectif d’analyser les risques que pourraient avoir les nanoparticules présentes dans les bâtiments et les matériaux de construction . Pour ce faire, les recherches et les essais concernaient différents axes, à savoir : les essais d’abrasion sur des façades modèles, des essais de délavage des nanoparticules et une analyse des effets biologiques sur l’homme et l’environnement.
A signaler que le projet « NanoHouse » a été réalisé en collaboration avec cinq laboratoires de l’Empa, quatre instituts de recherche européens et quatre partenaires industriels. Il a été financé, dans le cadre du 7e programme cadre de recherche, par des fonds de l’Union Européenne.
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